1. L’apostrophe
    (D. Poulin)
  2. Enterrez-moi
    (D. Poulin / N. Renaud, D. Poulin)
  3. Parle-moi
    (D. Poulin / M. Dallaire)
  4. Cupidon
    (D. Poulin / D. Poulin, Y. Dubuc)
  5. La poursuite du monde
    (D. Poulin / R. Dickson, E. Robitaille, D. Poulin)
  6. Dans ma bulle
    (D. Poulin / M. Dallaire, D. Poulin)
  7. Tant de rêves
    (D. Poulin / M. Dallaire)
  8. Ce que je serai (avec Andrea Lindsay)
    (D. Poulin / N. Renaud, D. Poulin)
  9. Apprivoiser l’instant
    (D. Poulin / M. Dallaire)
  10. Capturer l’aube
    (D. Poulin / N. Renaud, D. Poulin, S. Krauss)
  11. Out of nowhere
    (D. Poulin / M. Dallaire, D. Poulin)

Le désharmonium

Le monde : un film de guerre
Qui se déploie sous la lumière
D’un soleil
Qui n’éclaire pas les consciences

Le rêve : une poésie
Dont les images habitent la nuit
D’un monde
Où combattent les croyances

Nuit et jour
La guerre, l’amour
Le désharmonium

Peu à peu
Dans l’entre-deux
Se joue l’histoire de l’homme

Je sens le potentiel
D’une énergie exponentielle
Qui surgit
Pour concilier les contraires

Je sens la lassitude
D’un monde plongé dans l’inquiétude
Qui endure
Qui patiente et se laisse faire

Jour et nuit
Espoir, conflit
Le déharmonium

Peu à peu
Dans l’entre-deux
Se joue le sort de l’homme

Nuit et jour
La guerre, l’amour
Le désharmonium

Peu à peu
Le cercle vicieux
Épuise l’orgueil de l’homme

Tiré d’un sommeil non-accompli,
Sans faire de bruit, je quitte notre lit
Pas de baiser pour prolonger ta nuit, ta léthargie, tes rêveries

Chaque jour, les tâches se multiplient,
Je suis affaibli, et trop engourdi
Dans le feu de l'action, incompris,
je me replie, enseveli

Quelque chose me dit: simplifie,
Avant que tout soit détruit

Où es-tu parti, amour de ma vie ?

Dans la brume qui est devenue notre vie,
Tout est assombri, tout est compromis
Entre la garderie et notre lit, aucun répit, aucun appui

La fatigue envahit mon esprit démoli

Où es-tu parti, amour de ma vie

Pardonne-moi mes douleurs
Attrapons des couleurs

Quand la folie fuit, you cannot make a sound

La lune, ma lampe veilleuse
Consume mes nuits joyeuses

S’ il fait froid dehors, I still sleep on the ground

Prendre le temps, d'écouter le vent,
refroidir le sang, dans mon corps,
Au pouvoir, dans votre tour d'ivoire,
vous me regardez, sans me voir

Car tour à tour, on y passe
Tour à tour, en première classe
Tout à coup, l'esprit s'écrase

Aux lèvres du sommeil
Il accroche tous ses ennuis
Il décroche jusqu’au réveil
Pour mieux embrasser la nuit
Sans un bruit, ses yeux dansent au ralenti
Tout petit, dans les grands bras de Morphée (de Morphée)

Sans bagages ni aiguillage
Partir l’esprit ouvert

Au lever du soleil
Son corps n’est qu’une coquille
Déjà demain la veille
Loin depuis longtemps, on l’oubli
Sans un bruit, la brise étouffe sa flamme
Tout petit, le vide que laisse son âme (son âme)

Sans bagages ni aiguillage
Dormir les yeux ouverts

La fille
Elle danse, elle danse, dans une boîte de nuit
Pour voir
Au fond du son, la face cachée de sa vie
Inassouvie

Dans le noir, elle est l’étoile
Du destin qui se dévoile

Ohhh, ses pieds dansent
Ohhh, l’espérance

La fille
Elle bouge, elle bouge
Elle perd le nord de son corps
Et sa danse
Découvre, délivre
Le sens secret de son sort
De son décor

Comme un rêve, comme une prière
Son mystère est sa lumière

Ohhh, ses pieds dansent
Ohhh, l’espérance
Ohhh, ses pieds dansent

Tous les jours, lui font promesse d’amour
Tous les jours, lui font faire demi-tour
Tous les jours, c’est de plus en plus clair
Son mystère, craint la lumière

Hands in my pockets, I’ve got no luck trying to get you
Hands in my pockets, I don’t know what I’m trying to find
Hands in my pockets, I can’t reach what I’m trying to get to
What I know I cannot describe

Taking the long way home and I’m trying to defend you
Taking the long way home and I’m trying to hide
Taking the long way home and I’m trying to forget you
But I don’t know why I even try

So wave back, and I’ll help myself
Wave back, or I’ll hide instead

Writing a thousand lines to tell you I need you
Writing a thousand lines and they all sound the same
Writing a thousand lines that I pray you can read through
What I don’t have the right to say

So wave back, and you can help yourself
Wave back, or hide in my head

With a code in every message
And a hope in every word I write
I can hold you when you’re needy
And warm you when you’re cold inside

Fantasy is a bitch when you try to believe it
Fantasy is a bitch when you know it’s a lie
Fantasy is a bitch and I hope to deceive it
And show you how the truth can’t hide

So wave back and we’ll help ourselves
Wave back and I’ll make our bed
So wave back for all that I’ve said
I’m way back, you’re too far ahead

Le son des pleurs qui sonnent l’alarme de mon corps
La brise qui sèche les larmes victimes de ton sort
Tes yeux où luisent tes rêves blessés mais pas morts
On a toujours le temps d’aller jouer dehors

Même si tu crois que tout est noir
Peut-être qu'ensemble on va pouvoir
Changer la couleur du temps

Je t'aime
Oui je t'aime

Le clair soleil ne t’attendra qu’un moment
Laisse ton chagrin te balayé de ces tourments
Je ferme les yeux, je compte et pars en courant
T’es bien caché, mais c’est ton rire que j’entends

La nuit me dit qu'le jour se cache quelque part
Tu fais le plein mais t’as des trous d’réservoir
Même la prudence ne peut pas toujours prévoir
Abat ton jeu, on se dévoile tôt ou tard

Une ville pour mes nuits perdues
Un cœur pour mes rêves têtus
Un temps pour vivre
Une chanson pour y croire
Un grand miroir

Mon cœur cherche son chemin
Ma ville suit son va-et-vient
Elle grise, elle gronde
Elle est mon purgatoire
Mon grand miroir

Elle est mon refuge, mon désert et mon déluge
C’est mon art et c’est mon air, j’y habite et je m’y perds
Elle est peuplée d’une rengaine, de désirs et de déveines
Sa cadence me caféine, son battement me nicotine

Un grand miroir
Un grand miroir

Sous une couverture de confiance
Je dors quand même les yeux ouverts
Dans la froidure de l'indifférence
J'ai peur de perdre tout mes repères

L’incertitude que je respire
Donne vie aux peurs imaginées
Charmé par l’odeur du désir
Et d’un bonheur ensorcelé

Même si mes yeux sont dégagés
Il y a toujours risque d'averses
Même si mon âme est bétonnée
Y'a ton regard qui me traverse

Qu’importe l’effort pour oublier
Les cicatrices veulent raconter
Que si je recule sans regarder
Il est fort probable que j’vais tomber

J'ai peur, de la douleur
De toi et des fleurs, de tout ce qui meurt
Je crains, de voir le déclin
De tout mes refrains, au jeu du chagrin

J'ai oublié comment prédire
Qu'un simple mot peut tout détruire
Que chaque ton et chaque demi-soupir
Sont des outils pour déconstruire

Pour satisfaire tout mes désirs
Un seul amour ne peut suffire
Et maintenant je dois prier
Au Dieu de l'infidélité


  1. Intro
    (S. King Gold)
  2. Le désharmonium
    (D. Poulin / N. Renaud, D. Poulin)
  3. Amour de ma vie
    (D. Poulin / S. Harrison, D. Poulin)
  4. Mal à quoi
    (D. Poulin / D. Poulin, S. Harrison)
  5. Carnet de naufrage
    (L. Willett / D. Poulin)
  6. Chanson Pour Suzie
    (R. Paiement / R. Paiement)
  7. Aujourd’hui, je dis bonjour à la vie
    (S. Fiori / S. Fiori)
  8. Ses pieds dansent
    (D. Poulin / N. Renaud, D. Poulin, S. Harrison)
  9. Wave back
    (D. Poulin / D. Poulin)
  10. Je t’aime (en couleurs)
    (D. Poulin / D. Poulin, S. Harrison, N. Renaud, E. Robitaille)
  11. Un grand miroir
    (D. Poulin / N. Renaud, D. Poulin)
  12. End Song
    (D. Poulin / D. Poulin, E. Robitaille)
  13. Extro
    (S. King Gold)

Le désharmonium

Le monde : un film de guerre
Qui se déploie sous la lumière
D’un soleil
Qui n’éclaire pas les consciences

Le rêve : une poésie
Dont les images habitent la nuit
D’un monde
Où combattent les croyances

Nuit et jour
La guerre, l’amour
Le désharmonium

Peu à peu
Dans l’entre-deux
Se joue l’histoire de l’homme

Je sens le potentiel
D’une énergie exponentielle
Qui surgit
Pour concilier les contraires

Je sens la lassitude
D’un monde plongé dans l’inquiétude
Qui endure
Qui patiente et se laisse faire

Jour et nuit
Espoir, conflit
Le déharmonium

Peu à peu
Dans l’entre-deux
Se joue le sort de l’homme

Nuit et jour
La guerre, l’amour
Le désharmonium

Peu à peu
Le cercle vicieux
Épuise l’orgueil de l’homme

Tiré d’un sommeil non-accompli,
Sans faire de bruit, je quitte notre lit
Pas de baiser pour prolonger ta nuit, ta léthargie, tes rêveries

Chaque jour, les tâches se multiplient,
Je suis affaibli, et trop engourdi
Dans le feu de l'action, incompris,
je me replie, enseveli

Quelque chose me dit: simplifie,
Avant que tout soit détruit

Où es-tu parti, amour de ma vie ?

Dans la brume qui est devenue notre vie,
Tout est assombri, tout est compromis
Entre la garderie et notre lit, aucun répit, aucun appui

La fatigue envahit mon esprit démoli

Où es-tu parti, amour de ma vie

Pardonne-moi mes douleurs
Attrapons des couleurs

Quand la folie fuit, you cannot make a sound

La lune, ma lampe veilleuse
Consume mes nuits joyeuses

S’ il fait froid dehors, I still sleep on the ground

Prendre le temps, d'écouter le vent,
refroidir le sang, dans mon corps,
Au pouvoir, dans votre tour d'ivoire,
vous me regardez, sans me voir

Car tour à tour, on y passe
Tour à tour, en première classe
Tout à coup, l'esprit s'écrase

Aux lèvres du sommeil
Il accroche tous ses ennuis
Il décroche jusqu’au réveil
Pour mieux embrasser la nuit
Sans un bruit, ses yeux dansent au ralenti
Tout petit, dans les grands bras de Morphée (de Morphée)

Sans bagages ni aiguillage
Partir l’esprit ouvert

Au lever du soleil
Son corps n’est qu’une coquille
Déjà demain la veille
Loin depuis longtemps, on l’oubli
Sans un bruit, la brise étouffe sa flamme
Tout petit, le vide que laisse son âme (son âme)

Sans bagages ni aiguillage
Dormir les yeux ouverts

La fille
Elle danse, elle danse, dans une boîte de nuit
Pour voir
Au fond du son, la face cachée de sa vie
Inassouvie

Dans le noir, elle est l’étoile
Du destin qui se dévoile

Ohhh, ses pieds dansent
Ohhh, l’espérance

La fille
Elle bouge, elle bouge
Elle perd le nord de son corps
Et sa danse
Découvre, délivre
Le sens secret de son sort
De son décor

Comme un rêve, comme une prière
Son mystère est sa lumière

Ohhh, ses pieds dansent
Ohhh, l’espérance
Ohhh, ses pieds dansent

Tous les jours, lui font promesse d’amour
Tous les jours, lui font faire demi-tour
Tous les jours, c’est de plus en plus clair
Son mystère, craint la lumière

Hands in my pockets, I’ve got no luck trying to get you
Hands in my pockets, I don’t know what I’m trying to find
Hands in my pockets, I can’t reach what I’m trying to get to
What I know I cannot describe

Taking the long way home and I’m trying to defend you
Taking the long way home and I’m trying to hide
Taking the long way home and I’m trying to forget you
But I don’t know why I even try

So wave back, and I’ll help myself
Wave back, or I’ll hide instead

Writing a thousand lines to tell you I need you
Writing a thousand lines and they all sound the same
Writing a thousand lines that I pray you can read through
What I don’t have the right to say

So wave back, and you can help yourself
Wave back, or hide in my head

With a code in every message
And a hope in every word I write
I can hold you when you’re needy
And warm you when you’re cold inside

Fantasy is a bitch when you try to believe it
Fantasy is a bitch when you know it’s a lie
Fantasy is a bitch and I hope to deceive it
And show you how the truth can’t hide

So wave back and we’ll help ourselves
Wave back and I’ll make our bed
So wave back for all that I’ve said
I’m way back, you’re too far ahead

Le son des pleurs qui sonnent l’alarme de mon corps
La brise qui sèche les larmes victimes de ton sort
Tes yeux où luisent tes rêves blessés mais pas morts
On a toujours le temps d’aller jouer dehors

Même si tu crois que tout est noir
Peut-être qu'ensemble on va pouvoir
Changer la couleur du temps

Je t'aime
Oui je t'aime

Le clair soleil ne t’attendra qu’un moment
Laisse ton chagrin te balayé de ces tourments
Je ferme les yeux, je compte et pars en courant
T’es bien caché, mais c’est ton rire que j’entends

La nuit me dit qu'le jour se cache quelque part
Tu fais le plein mais t’as des trous d’réservoir
Même la prudence ne peut pas toujours prévoir
Abat ton jeu, on se dévoile tôt ou tard

Une ville pour mes nuits perdues
Un cœur pour mes rêves têtus
Un temps pour vivre
Une chanson pour y croire
Un grand miroir

Mon cœur cherche son chemin
Ma ville suit son va-et-vient
Elle grise, elle gronde
Elle est mon purgatoire
Mon grand miroir

Elle est mon refuge, mon désert et mon déluge
C’est mon art et c’est mon air, j’y habite et je m’y perds
Elle est peuplée d’une rengaine, de désirs et de déveines
Sa cadence me caféine, son battement me nicotine

Un grand miroir
Un grand miroir

Sous une couverture de confiance
Je dors quand même les yeux ouverts
Dans la froidure de l'indifférence
J'ai peur de perdre tout mes repères

L’incertitude que je respire
Donne vie aux peurs imaginées
Charmé par l’odeur du désir
Et d’un bonheur ensorcelé

Même si mes yeux sont dégagés
Il y a toujours risque d'averses
Même si mon âme est bétonnée
Y'a ton regard qui me traverse

Qu’importe l’effort pour oublier
Les cicatrices veulent raconter
Que si je recule sans regarder
Il est fort probable que j’vais tomber

J'ai peur, de la douleur
De toi et des fleurs, de tout ce qui meurt
Je crains, de voir le déclin
De tout mes refrains, au jeu du chagrin

J'ai oublié comment prédire
Qu'un simple mot peut tout détruire
Que chaque ton et chaque demi-soupir
Sont des outils pour déconstruire

Pour satisfaire tout mes désirs
Un seul amour ne peut suffire
Et maintenant je dois prier
Au Dieu de l'infidélité